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  • La classe Energie, qu'est-ce que c'est ? DPE

    • Le 16/11/2013

    La classe Energie, qu'est-ce que c'est ?

    L’étiquette énergétique permet de classer les bâtiments en fonction de leur consommation annuelle d’énergie au mètre carré. Cette consommation est exprimée en Kwh/m²/an.

    L’étiquette se lit comme pour les appareils électroménagers. Sept classes sont définies allant de :

    A - Logement avec une consommation annuelle d’énergie pour le chauffage, l'eau chaude sanitaire et le refroidissement inférieure à 51 kWh/m2/an. Ce sont ce que l'on appelle les Bâtiments Basse Consommation ou BBC.
    B - Logement avec une consommation annuelle d'énergie comprise entre 51 et 90 kwh/m²/an.
    C - Logement avec une consommation annuelle d’énergie comprise entre 91 et 150 kw/m²/an.
    D - Logement avec une consommation annuelle d'énergie comprise entre 151 à 230 Kwh/m²/an.
    E - Logement avec une consommation annuelle d'énergie comprise entre 231 et 330 Kwh/m²/an.
    F - Logement avec une consommation annuelle d'énergie comprise entre 331 et 450 kwh/m²/an.
    G - Logement avec une consommation annuelle d'énergie comprise entre 451 et 590 kwh/m²/an.

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  • ETAT DES RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUE 67

     l'ERNT  devient  l'ERNMT

    Comme l’indique son nouvel intitulé, Etat des Risques Naturels, Miniers et Technologiques, l’état des risques doit désormais informer acquéreurs et locataires des risques miniers. Le ministère en charge de la prévention des risques a en effet constaté que les PPR miniers n’étaient que rarement pris en compte dans les ERNT. Pourtant, une circulaire du 06 janvier 2012 rappelait que les Plans de Prévention des Risques miniers (PPRm) emportaient les mêmes effets que les Plans de Prévention des Risques naturels (PPRn) et devaient dès lors être considérés. Cette nouvelle section permet à l’Etat de s’assurer que cette disposition est respectée. C’est pourquoi il conviendra, comme pour les risques naturels et technologiques, de dire si l’immeuble est situé dans le périmètre d’un PPR minier (prescrit, appliqué par anticipation ou approuvé), d’en préciser l’aléa (mouvement de terrain ou autre) et naturellement d’ajouter les extraits des cartographies permettant de localiser l’immeuble.

    2 : La présence de prescriptions de travaux pour l’immeuble

    C’est la plus grande nouveauté apportée par la réforme : si l’immeuble est situé dans le périmètre d’un PPR approuvé, il faudra dire s’il est soumis à des obligations de travaux. Si cette nouveauté enrichit opportunément le contenu de l’ERNT, elle complexifie considérablement son établissement. En effet, pour pouvoir répondre à ces questions avec la plus grande précision, le diagnostiqueur devra analyser et correctement interpréter les règlements associés aux PPR. Ces questions sont désormais apparentes au sein de chacune des 3 sections dédiées à la situation de l’immeuble au regard des PPR et sont immédiatement suivies de la question: « si oui, les travaux prescrits par le règlement du PPR[…] ont été réalisés : oui ou non ». Au travers de ces questions, les pouvoirs publics ont souhaité s’assurer que les acquéreurs et locataires soient informés de la présence de travaux rendus obligatoires par les règlements des PPR et de leur mise en oeuvre ou non par le précédent propriétaire/bailleur. Sur ce dernier point, les opérateurs de diagnostics n’auront pour seule responsabilité que de s’assurer que le propriétaire/bailleur répondra à la question, et non de contrôler si des travaux ont été réalisés conformément aux prescriptions.
    source: diagimmo

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  • Diagnostic Plomb dans les peintures

    • Le 15/11/2013

    CREP est obligatoire si le logement est situé dans un immeuble (y compris une maison individuelle) construit avant le 1er janvier 1949, quelle que soit la zone géographique. Il ne porte que sur les parties privatives à usage d’habitation, y compris les éléments extérieurs (volets) d’une maison individuelle. Par ailleurs, les parties communes d’un immeuble, que celui-ci soit en copropriété ou non, devront également faire l’objet du constat de risque d’exposition au plomb, au plus tard le 12 août 2008, mais celui-ci n’a pas à être remis à l’acquéreur qui pourra toutefois le consulter auprès du syndic.
    Quel contenu ?
    Le CREP présente un repérage des revêtements contenant du plomb : il consiste à mesurer la concentration en plomb de tous les revêtements du bien concerné, afin d’identifier ceux contenant du plomb, qu’ils soient dégradés ou non, à décrire leur état de conservation et à repérer, le cas échéant, les facteurs de dégradation du bâti.
    Les résultats du constat du risque d’exposition au plomb doivent permettre de connaitre, le cas échéant, le risque immédiat lié à la présence de revêtements dégradés contenant du plomb, mais aussi le risque potentiel lié à la présence de revêtements en bon état contenant du plomb.
    Contrairement à ce que croient beaucoup de vendeurs, il ne comprend pas l’obligation de rechercher l’existence de canalisations en plomb.
    Une notice d’information, qui résume les effets du plomb sur la santé et les protections à prendre en présence de revêtements contenant du plomb, est annexée au constat de risque d’exposition au plomb.
    Quel délai de validité ? Quelles obligations ?
    Il doit dater de moins d’un an et être annexé à tout avant-contrat ou, à défaut d’avant-contrat, à l’acte de vente notarié.
    Toutefois, si le CREP établit l’absence de revêtements contenant du plomb ou la présence de revêtements contenant du plomb à des concentrations inférieures ou seuil réglementaire (1 mg/cm2) il n’y a pas lieu de faire établir un nouveau constat à chaque mutation, le constat initial étant quelles que soit sa date d’établissement, joint au dossier de diagnostic technique, à chaque nouvelle vente.
    Si le CREP met en évidence la présence de revêtements contenant du plomb à des concentrations supérieures au seuil limité, le propriétaire doit, le cas échéant, en informer les occupants et les personnes amenées à faire des travaux dans l’immeuble ou dans la partie d’immeuble concernée et procéder sans attendre aux travaux appropriés pour supprimer le risque d’exposition au plomb, tout en garantissant la sécurité des occupants. Cette obligation est transférée à l’acquéreur après la vente.
    En l’absence d’un constat de risque d’exposition au plomb en cours de validité lors de la signature de l’acte de vente notarié, le vendeur ne peut s’exonérer de la garantie des vices cachés correspondante ; il demeure responsable si l’acquéreur découvre la présence de plomb dans les revêtements.
    souce: le diagnostiqueur immobilier

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  • AVANT LE 01/01/1949

    • Le 11/11/2013

    VENTE : DIAGNOSTICS IMMOBILIERS OBLIGATOIRES SI LE PERMIS DE CONSTRUIRE A ETE DELIVRE AVANT LE 01/01/1949

    Mesures des surfaces loi CARREZ (Validité sans limite si absence de modification) obligatoire uniquement pour les lots de copropriété

    Diagnostic Performance Energétique (Validité de 10 ans)

    Plomb (Validité 1 an, sans limite si absence)

    Etat des Risques Naturels Miniers et Technologiques (Validité de 6 mois) 

    Amiante (Validité sans limite)

    Electricité (Validité de 3 ans) obligatoire pour les installations de plus de 15 ans

    Gaz (Validité de 3 ans) obligatoire pour les installations de plus de 15 ans

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  • ENTRE LE 01/01/1949 ET LE 01/07/1997

    • Le 11/11/2013

    VENTE : DIAGNOSTICS IMMOBILIERS OBLIGATOIRES SI LE PERMIS DE CONSTRUIRE A ETE DELIVRE ENTRE LE 01/01/1949 ET LE 01/07/1997

    Mesures des surfaces loi CARREZ (Validité sans limite si absence de modification) obligatoire uniquement pour les lots de copropriété
    Diagnostic Performance Energétique (Validité de 10 ans)
    Etat des Risques Naturels Miniers et Technologiques (Validité de 6 mois) 
    Amiante (Validité sans limite)
    Electricité (Validité de 3 ans) obligatoire pour les installations de plus de 15 ans
    Gaz (Validité de 3 ans) obligatoire pour les installations de plus de 15 ans

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  • APRES LE 01/07/1997

    • Le 11/11/2013

    VENTE : DIAGNOSTICS IMMOBILIERS OBLIGATOIRES SI LE PERMIS DE CONSTRUIRE A ETE DELIVRE APRES LE 01/07/1997
    Mesures des surfaces loi CARREZ (Validité sans limite si absence de modification) obligatoire uniquement pour les lots de copropriété
    Diagnostic Performance Energétique (Validité de 10 ans)
    Etat des Risques Naturels Miniers et Technologiques (Validité de 6 mois)
     —

    à BBH-BatiExpert expertises et diagnostics immobiliers Strasbourg.

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  • Lorsque l’installation intérieure d’électricité

    • Le 06/11/2013
    a été réalisée depuis plus de quinze ans, un état de cette installation devra être produit par le vendeur à l’acquéreur. Il est réalisé sur l’ensemble de l’installation électrique privative des locaux à usage d’habitation et leurs dépendances.

    Etabli à partir d’un modèle type réglementé, l’état de l’installation intérieure d’électricité vérifie l’existence et les caractéristiques :

    d’un appareil général de commande et de protection, et de son accessibilité ;
    d’au moins un dispositif différentiel de sensibilité appropriée aux conditions de mise à la terre, à l’origine de l’installation électrique ;
    d’un dispositif de protection contre les surintensités adapté à la section des conducteurs, sur chaque circuit ;
    d’une liaison équipotentielle et d’une installation électrique adaptées aux conditions particulières des locaux contenant une baignoire ou une douche.
    Il identifie :

    les matériels électriques vétustes, inadaptés à l’usage ou présentant des risques de contacts directs avec des éléments sous tension ;
    les conducteurs non protégés mécaniquement.
    Quelles obligations ?

    A compter du 1er avril 2008 (nous attendons le décret d’application), en l’absence, lors de la signature de l’acte de vente notarié, de l’état relatif aux installations d’électricité, le vendeur ne peut s’exonérer de la garantie des vices cachés correspondante.

    Deux documents peuvent toutefois tenir lieu d’état de l’installation intérieure d’électricité, dès lors qu’ils ont été établis depuis moins de trois ans à la date à laquelle l’état doit être produit : le certificat de conformité aux règles techniques et de sécurité effectué par un organisme agréé, et le diagnostic réalisé avant le 1er novembre 2007 dans le cadre d’opérations organisées par les distributeurs d’électricité.
    Source : forum diagnostiqueur immo

     — à BBH-BatiExpert expertises et diagnostics immobiliers Strasbourg.

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  • A quoi sert le mesurage des surfaces Loi Carrez?

    • Le 06/11/2013
    A quoi sert le mesurage des surfaces Loi Carrez? 

    Avant la loi Carrez, aucune réglementation n’obligeait le vendeur à indiquer la superficie du bien immobilier en vente. Depuis 1997, la loi Carrez protège les acquéreurs. Lors de la vente ou l’achat d’un logement, la superficie en m² doit être clairement renseignée dans toute promesse de vente.

    La loi Carrez ne tient compte que de la superficie privative c’est à dire la superficie du sol des locaux fermés et couverts. La loi Carrez concerne toutes les ventes de logement de copropriété d’une surface de 9 m² au minimum. Elle ne prend pas en compte les caves, garages, emplacements de stationnement, boxes, greniers non aménageables et les places de parking. 

    Comment est calculée la surface privative ? C’est la superficie additionnée de toutes les pièces du lot. Ne sont pas pris en compte : la superficie des murs, les cloisons, les marches, les cages d’escalier, les gaines, les embrasures de portes et de fenêtres, le sol des locaux dont la hauteur est inférieure à 1,80m.

    Qui réalise le diagnostic et combien coûte-t-il? La loi Carrez n’indique pas que la mesure de la superficie doit être réalisée par un diagnostiqueur professionnel. Vous pouvez donc vous en charger. Attention cependant à ne pas faire d’erreur, elle pourrait vous coûter cher. 

    Si la superficie privative n’est pas indiquée dans la promesse de vente, l’acheteur dispose d’un délai légal d’un mois, à compter de la date de la vente, pour invoquer la nullité du contrat. Si la superficie indiquée sur le papier est inférieure à la superficie réelle du lot, il n’y a aucun supplément de prix exigible par le vendeur. A l’inverse, si l’acquéreur remarque une différence de superficie d’au moins 5% par rapport à la surface privative réelle, il dispose d’un an pour exiger une baisse du prix de vente (ou une contrepartie) proportionnelle à la différence de superficie. source laforet

     

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